Il fallait les influencer subtilement. J'étais tellement déçu à chaque fois que certains étudiants prometteurs se tournaient vers une autre matière. Ils étaient nombreux à aimer l'histoire. Il fallait réussir à les convaincre que ma matière était primordiale. C'était un combat de tous les jours.
J'ouvris en grand la porte de ma salle de classe et me positionnais dans le couloir. Avec un grand sourire, j'annonçais aux petits qu'ils pouvaient entrer.